je suis bien d accord avec la grosse

CettemadmoiZelle a rencontré un passionné du tripotage de vulve qui lui a enseigné une position fort agréable pour se faire caresser le clicli. C'est qu'on appelle prendre les choses en main. Leverbe s’accorde avec le complément de « la plupart », ici « vos machines », qui correspond à « elles », 3 e personne du pluriel : on écrit donc « répondent ». Phrase correcte. Phrase correcte. Faux. Il faut écrire : La plupart des nourrices ont suivi une formation de secourisme. Casparticuliers Les formes du pronom personnel qui se terminent par une voyelle " je, me, le, te, la, se" s'élident devant un mot commençant par une voyelle, un h muet, et devant en et y. Physiquement émotionnellement. J’accepte les coups, qui, tout comme la dernière fois sont progressifs et très réguliers, j’aime particulièrement ça. Je dois bien reconnaître que Monsieur N. manie parfaitement bien le fouet sur moi, Visitemédicale. Ma mère a pris rendez-vous chez le médecin pour ma petite sœur et moi (j'ai 16 ans et elle 11 ans). Ma mère et ma sœur sont rentrées dans le cabinet en premier, pendant ce temps je suis resté dans la salle d'attente. Puis le médecin est venu me chercher, il m'a posé plusieurs questions puis m'a demandé de me nonton film tomb raider 2018 sub indo. Idiotic CretinousHumour Forme d'esprit qui souligne avec ironie et détachement les aspects plaisants, drôles et insolites de la réalité. Accueil Contact Publié le 22 mai 2012 par Idiotic Cretinous Idiotic Cretinous Pixabay Il faut apprendre à s’éloigner de certaines personnes, pour être heureux Il est judicieux de s’éloigner des gens qui nous empêchent de grandir et d’être heureux. Et qui nous transmettent une série d’inquiétudes qui n’ont rien à voir avec notre personne. S’éloigner de ces personnes améliorera notre santé physique mais également notre santé émotionnelle et rendra nos relations plus saine. Nous pouvons dire que pour être heureux, nous avons besoin de prendre de la distance face aux conflits qui sont provoqués par des gens qui pompent notre énergie et qui anesthésient notre faculté de réaction. Pour que l’on soit libre et que l’on se sente bien, nous devons nous éloigner du carnage émotionnel, de l’instabilité et de l’incertitude que provoquent les gens qui nuisent à notre capacité émotionnelle et qui heurtent notre sensibilité. Ainsi, il est fondamental de savoir que pour y parvenir, nous devons nous préparer à accepter le fait que nous ne connaissons pas réellement les personnes que nous croyons connaître. Car effectivement, nous devons nous rendre compte que vous sommes soumis à leurs exigences, à leurs jugements et à leurs comportements toxiques. Ce que les autres personnes pensent de vous est leur réalité, pas la vôtre Nous devons être conscient que tout au long de notre vie, nous allons rencontrer beaucoup de personnes qui ne savent pas respecter ni considérer les sentiments, les pensées et les croyances des autres. Par conséquent, nous nous sentons utilisés comme des marionnettes soumises à la mauvaise humeur des autres; ce qui se transforme habituellement en conflits internes et externes. Il est possible qu’à cause de cela, nous sentions que ces personnes ne vivent pas vraiment, et ne laissent pas vivre les autres » et qu’en conséquence, elles freinent notre développement, le leur, et l’épanouissement d’une relation qui pourrait être saine mais qui est devenue vénéneuse. Toutefois, il se peut que ces personnes ne soient pas complètement conscientes de tout ce mal-être qu’elles déclenchent. Et qu’elles ne se posent pas la question à savoir si ce qu’elles font ou ressentent fait du mal aux autres. Cela survient car elles-mêmes sont soumises à la spirale de leurs propres problèmes, qu’elles ont personnellement créée. Elles sont donc noyées et coincées dans ce tourbillon dont elles ne pourront sortir à moins de fournir de gros très efforts et d’y amener une réelle prise de conscience. Voir aussi 6 conseils pour nous aider à devenir un meilleur partenaire dans nos relations Image crédit Pixabay Vous devez prendre de la distance émotionnelle Nous ne pouvons pas toujours nous éloigner physiquement des personnes qui rendent notre quotidien difficile, car ce sont des proches, des collègues de travail, ou des gens très présents dans notre entourage. Toutefois, nous sommes d’accord pour dire que, malgré le pouvoir de la distance physique, ce qui fait tangiblement la différence, c’est la distance émotionnelle. Pour cela, nous devons faire un travail sur nous même pour rassembler toutes les forces nécessaires afin de nous maintenir hors de leur capacité d’action, et éviter ainsi que ces personnes n’aient pas une trop grande influence sur nous. Mais alors, comment faire ? Profitez de l’avantage de l’anticipation Vous savez surement comment cette personne réagira face à telle ou telle situation. Alors, profitez de cela pour vous protéger. Découvrez également 9 leçons importantes que les relations peuvent nous apprendre Mettez la barre haut lorsque vous accorder du crédit aux autres personnes N’accordez pas de crédit aux gens qui sont malintentionnés et qui ne vous apporteront rien. Pour cela, inspirez-vous d’un enseignement de Socrate traditionnel qui offre la possibilité de filtrer les commentaires des autres ainsi que les nôtres. Le jeune disciple d’un philosophe sage arrive chez celui-ci et lui dit – Maître, un de tes amis a parlé de toi avec malveillance. – Attends ! L’interrompt le philosophe. As-tu déjà fait passer par les trois filtres ce que tu vas me raconter ? – Les 3 filtres ? – Oui. Le premier est celui de la vérité. Es-tu sûr que ce que tu veux me dire est absolument certain ? – Non, je l’ai entendu dire à quelques voisins. – Au moins, l’auras-tu au moins fait passer par le deuxième filtre, qui est celui de la bonté? Ce que tu veux me dire, est-il bon pour quelqu’un ? – En réalité, non. Au contraire… ça alors ! – Le dernier filtre est celui de la nécessité. Est-il nécessaire de me faire savoir ce qui t’inquiète tellement ? – A dire vrai, non. – Alors, dit le sage en souriant, si ce n’est ni vrai, ni bon, ni nécessaire, enterrons-le dans l’oubli ». Il faut apprendre à s’éloigner de certaines personnes, pour être heureux Gérez vos attentes Parfois, nous attendons tant des autres que nous sommes incapables d’accepter la réalité telle qu’elle est vraiment. A ce moment-là, nous devons accepter que nous ne connaissons pas si bien les personnes dont nous attendons beaucoup et qui nous déçoivent constamment. Cela permet aussi de réévaluer nos attentes vis à vis des autres personnes, qui peuvent être très exigeantes, partiales et même nous polluer par un terrible mal-être. Une fois que vous avez réussi à filtrer les mauvaises actions, vous vous concentrerez sur vos opportunités de croissance, et vous arrêterez d’utiliser vos forces comme une conséquence de la toxicité de l’environnement. Gardez votre perspective en tête pour aboutir à l’indifférence Quand vous commencerez à sentir et à comprendre que vous êtes descendu de cette fameuse montagne russe qui vous enfermait, vous réussirez à oublier les inquiétudes que vous a apporté cette personne ou ce membre de votre entourage dont vous essayez de vous défaire. Alors, vous vous libérerez de ces insécurités et des réactions démesurées que les conflits ont provoqué en vous. Une fois que vous en serez libéré, votre esprit s’éclaircira et vous serez prêt pour exposer vos sentiments, vos peurs et vos pensées. Cet effort vous garantira un résultat rapide et vous prendrez conscience de la nécessité de vous éloigner de certaines personnes. La vie est si brève qu’elle ne mérite pas d’être envahie par des angoisses inutiles. Conclusion aimez les gens qui vous font du bien et éloignez-vous de celles qui sont nocives pour vous. Voir également Comment nous gâchons notre vie sans même le remarquer RéponsesJaronParlez à un avocat, mais je suis sûr que vous pourriez obtenir une annulation. Surtout si vous n'avez pas couché ensemble ou s'il vous a menti avant le mariage à propos de quelque chose d'important pour être une annulation. Parlez à un avocat. mais je dois vous demander pourquoi vous êtes même marié en premier lieu si vous saviez que c'était une erreur?SamDésolé d'apprendre que vous n'êtes pas satisfait après 2 jours. Je comprends! Tant qu'il n'est pas consommé, il est facile de le faire annuler. Appelez simplement un technicien et il s'occupera de tous les détails. Bonne bien, nous n'avons pas eu de relations sexuelles. Ou rien de tout ça, la drôle de chose que je me suis mariée pendant le déjeuner. On n’a pas énormément d’expérience... », me prévient Claire les prénoms ont été changés. Nous sommes assis dans leur salon, une grande pièce lumineuse et colorée dans une ville du centre de la France. Des jouets multicolores jonchent le parquet, il y a des piles de BD et des photos de leurs quatre enfants. Claire et Vincent nous ont écrit pour raconter leur vie de candauliste ». On a dû chercher sur Wikipédia ce que ça voulait dire ce sont des gens qui prennent du plaisir à voir leur partenaire faire l’amour avec quelqu’un d’autre. Pour ce couple d’une quarantaine d’années, c’est surtout, comme dit Claire, une question de plaisir partagé. On le partage à deux et on le partage à trois. »La suite après la publicité Ça fait déjà dix-sept ans qu’ils sont ensemble. Au début je pensais que ça n’allait pas durer longtemps, je ne voulais pas quelqu’un au travail », raconte Claire. Oui et puis tu voulais un brun sans lunettes... » rigole Vincent. Leur complicité est évidente, et leur expérience du candaulisme avant tout une histoire d’amour. C’est pourquoi cette vie de baise sera à deux voix. Rien à voir avec de l’ennui » D’emblée, ils précisent Ça n’avait rien à voir avec un ennui dans notre vie sexuelle. C’était vraiment un fantasme tu peux avoir la vie sexuelle la plus débridée que tu veux, ton fantasme tu l’auras toujours. » Claire. On a fait des enfants très vite on a décidé d’avoir un enfant six mois après s’être connus, et on en a eu trois en cinq ans. Ça m’a toujours un peu peinée je trouvais qu’on n’a pas eu de vie de couple. Et puis il y a sept ans, on a eu des problèmes de couple j’ai trompé Vincent, Vincent m’a trompée. On a été voir un psy de couple, on s’est mariés... A ce moment-là, c’était Soit on se marie, soit on se sépare ». Et on a eu notre dernière fille , on a repris le dessus. Vincent. Quand Claire m’a trompée, je me suis rendu compte que je n’arrivais pas à être jaloux. Mais je voulais tout savoir. C’est à ce moment-là que l’envie s’est suite après la publicité Claire et Vincent J’ai toujours eu cette envie » Vincent. Je pense que j’ai toujours eu cette envie et elle a progressivement pris corps, au fil des années. Claire a un rapport très sain à la sexualité elle sait ce qu’elle veut et ce qu’elle ne veut pas, et elle le dit. Moi je savais ce que je voulais, mais c’était plus compliqué de le verbaliser, de l’assumer. Claire. Le candaulisme, ça faisait un moment que ça rôdait dans notre couple. Je sentais que Vincent avait des envies il allait beaucoup sur Internet et je me demandais ce qu’il allait chercher. Mais quand je tombais sur des trucs, je voyais bien que ce n’était rien d’extraordinaire. On a fini par en parler, et Vincent me disait Ce que je vais chercher sur Internet, c’est ce que les hommes pourraient te faire. » Personnellement, je ne suis pas du tout dans le virtuel ça ne m’excite pas du tout. Mais je me disais Si c’est son truc, je le laisse faire, c’est son jardin secret.“ Et il a fini par me dire Ce que j’aimerais, c’est te voir faire l’amour avec un autre gars.’ Là elle rit ça m’a fait rire. C’était irréel pour moi, c’était pas possible ! Pas parce que je suis prude, mais parce que je ne comprenais pas bien. Mais il m’a dit que c’était un vrai fantasme, une vraie envie. Le déclic est venu là. J’ai cherché sur Internet homme qui regarde sa femme avec un autre homme’, et je suis tombée sur un site, esthétiquement joli, avec des témoignages, qui expliquaient pourquoi des hommes pouvaient avoir envie de voir leur femme faire l’amour avec un autre, comment ils la trouvaient belle... Ça m’a beaucoup rassurée. Vincent avait un peu de mal à mettre des mots dessus, mais en lisant ça, je me suis dit Bon, je comprends mieux.’La suite après la publicité En soi, l’idée ne me posait pas de problème je n’ai jamais été fidèle, j’ai toujours pu faire l’amour sans sentiments et ce n’était pas un problème de coucher avec quelqu’un d’autre que Vincent. Mais je ne voyais pas comment ça allait être réalisable. Je lui ai dit OK, mais il faut que ce soit un mec qui me plaise.’ Vincent. Je n’ai jamais insisté. J’en ai parlé, elle savait que j’avais cette envie-là, mais je n’ai jamais, jamais, cherché à faire une liste d’arguments. On ne le fait que parce que Claire veut bien le faire. Claire. J’ai dit à Vincent que si c’était réalisable, ce serait sûrement un soir de fête, après avoir un peu bu. On a essayé d’aller dans un club échangiste. C’était terrible, j’étais là-dedans comme une petite souris ! rires Encore aujourd’hui, j’ai du mal avec le désir que je peux susciter. Quand un gars nous a abordés, j’étais terrorisée ! Vincent. Le mec s’est approché et m’a dit Est-ce que je peux masser votre femme ?’ Mais comme la musique était super forte, j’ai entendu Est-ce que vous pouvez me passer votre femme ?’ J’ai répondu Ça va pas non !’La suite après la publicité Claire. Et moi j’étais accrochée au bras de Vincent, à dire non non non’ rires Donc on est allés sur un site échangiste. C’est un peu la foire aux bestiaux, il y a des dizaines de milliers de personnes. Tu fais ta recherche, tu rentres tes critères... Par exemple, on précise que Vincent n’est pas bi et que ça se fera toujours en sa présence. Et puis on discute. C’est comme ça qu’on a rencontré le premier, Cyril. La première fois Claire. On était partis tous les deux en amoureux, pour les 40 ans de Vincent. On avait mangé dans un resto étoilé,et on avait rendez-vous avec Cyril. Il nous avait prévenus qu’il ne pourrait pas rester, qu’il devait partir à 21 heures. Ça m’allait bien, je trouvais qu’il fallait qu’on prenne notre temps. Je ne voyais toujours pas comment ça pouvait se passer suite après la publicité On était dans un pub. On a bien parlé, on a bien rigolé. En fait, Cyril n’était pas du tout obligé de partir à 21 heures. Et finalement il a fallu décider. C’était compliqué, parce que je ne sais pas décider. J’ai fini par dire Bon. Je finis ma bière et on y va.’ On avait pris une chambre d’hôtel à côté, et on est partis. Vincent. Au pub, je regardais Claire, je la voyais indécise et en même temps j’aimais bien ce moment-là, ce moment où tu prends les choses en main, où c’était toi qui décidais... Claire. On est entrés dans la chambre. Je flippais un peu. Cyril m’a enlacée et c’était parti. Je n’étais pas hyper y avait une intensité. C’était bizarre. Je regardais Vincent, je me demandais Est-ce qu’il va bien ? Comment ça se passe pour lui ?’ Je le voyais pas en érection, et j’étais inquiète. Vincent. Oui, parce que c’était la première fois que Claire couchait avec un mec devant moi mais c’était aussi la première fois que je la voyais coucher avec un mec ! La suite après la publicité Claire. Quand ç’a été fini, je me suis mise à rigoler bêtement. C’était les nerfs qui lâchaient. Cyril est parti - il devait retrouver sa femme. L’autre mec Claire. L’autre homme, c’est quelqu’un qu’on choisit, avec qui on s’entend bien, avec qui on sait qu’on a des atomes crochus. On ne prend pas des mecs juste parce qu’ils ont une grosse bite. Vincent. C’est toujours Claire qui décide. Ce serait complètement inimaginable pour moi de lui dire Tiens, lui il est génial, couche avec lui.’ Claire. J’aime bien être sur le site seule. Vincent me connaît suffisamment pour trouver des mecs qui me conviendraient et moralement et physiquement, il pourrait tout à fait faire ça pour moi, mais j’ai besoin d’un rapport de séduction. Il faut que j’arrive à être séduite et à suite après la publicité Vincent. L’idée dans l’absolu, c’est un mec qui fasse plaisir à Claire, mais aussi un mec qui pourrait être un copain. On se dit souvent en rigolant qu’un jour on verra Cyril au pub et qu’à force de boire des coups on se dira Merde on a oublié de baiser !’ Avec lui, c’est vraiment ça. Au-delà du cul, on fait des blagues, on se chambre... Les mecs ne comprennent pas toujours. Un jour en chat un mec m’a dit Alors tu as envie d’être cocu ?’ Ben non, c’est pas du tout ça. J’ai juste envie de voir ma femme faire l’amour. A la limite, le mec, je le vois pas. Claire Elle est magnifiée’ Je regarde Claire. Je regarde son corps, son visage, je ne regarde qu’elle. La partie du mec que je regarde le plus, ce sont ses mains, par exemple quand il la déshabille. Mais au final, c’est le corps de Claire que je regarde. Et pourtant, je le connais par cœur. Au début, Claire me disait Mais qu’est-ce que tu veux voir, tu me vois quand on fait l’amour !’ Mais dans ces moments-là... elle est suite après la publicité Claire dit souvent qu’elle ne veut surtout pas avoir l’impression de tourner dans un porno. De la même façon, je ne regarde pas comme je regarderais un porno. Je ne fixe pas en gros plan le sexe du mec qui rentre dans sa chatte, non. Ce que je regarde, c’est l’ensemble, Claire qui se laisse aller à faire l’amour avec un mec, qui en plus a une manière de faire l’amour qui... que je trouve forcément divine. Elle est tellement belle. Elle a un corps fait pour faire l’amour – c’est la façon dont elle s’en sert, elle prend l’initiative, elle n’est pas du tout passive. Claire. Je ferme les yeux... Mais je ferme aussi les yeux quand je suis avec Vincent. Je suis dans le ressenti, dans la sensation. Parfois, Vincent me demande de le regarder, mais c’est difficile. Les angles Vincent. On l’a toujours fait à l’hôtel, avec un lit et une chambre et donc je m’assois sur la chaise qui est à l’angle du lit. La dernière fois... tu étais allongée sur le dos et il était sur toi et du coup je ne voyais que son dos ! J’en rigolais tout seul en me disant Je ne vais pas me lever et faire le tour’, je ne suis pas un réalisateur de film porno. D’ailleurs, Claire, je la connais tellement bien que même si je ne la vois pas, je la vois. Claire. Moi, les angles, je n’y pense pas une fois que je suis dans le truc. Je ne dis pas Attends je vais me mettre dans telle ou telle position pour qu’il voie mieux.’ Cyril fait parfois attention aux angles la dernière fois, il s’est allongé pour que Vincent puisse voir. Mais c’est parce que Cyril a aussi un fantasme candauliste, il suite après la publicité Le moment d’après Claire. C’est important, de se toucher... Le câlin d’après l’amour. Quand le mec ne doit pas partir, on reste tous les trois dans le lit. C’est important de savoir comment ça s’est passé pour l’autre mec, comment lui l’a ressenti, s’il a pris autant de plaisir que nous, s’il a été à l’aise. Vincent. On ne finit pas en se disant Allez hop, on se rhabille et on se casse !’ Bien sûr on fait ça pour nous, mais le plaisir du mec, c’est important aussi. Sinon on s’est plantés on cherche aussi à ce que le mec prenne du plaisir. Claire. Un de nos copains qui a pris pas mal de drogues nous demandait Comment vous gérez la descente ?’ C’est vrai que c’est fort en émotion, en adrénaline. On en parle beaucoup – pas techniquement, mais au niveau des émotions – on a besoin d’être tous les deux. Pendant quelques jours après ces rencontres, ça reste compliqué. Je dis souvent à Vincent que je ne veux plus le faire. C’est le moment où j’intellectualise. Je me dis Je couche avec un mec que je n’avais jamais vu deux heures avant et mon mari est là, il est à poil et il se paluche.’ C’est bizarre, quoi ! La suite après la publicité Vincent. Tu moralises. Claire. Non, ce n’est pas une question de morale. Le lâcher prise, pour le coup, ce n’est pas un problème pour moi. Mais c’est bizarre. Laisser son corps parler’ On l’a fait quatre fois avec trois mecs différents, depuis août dernier. Toujours avec des capotes. Claire. Physiquement c’est pas dingue... Comme je le dis souvent aux mecs, il n’y a que Vincent qui me fait jouir, qui me connaît par cœur. Mais c’est la situation qui est excitante. Je me dis que Vincent est en train de prendre son pied, qu’il s’éclate et ça me fait plaisir. Et moi j’aime ça, j’aime vraiment faire l’amour. J’adore découvrir un nouveau corps, une nouvelle peau...La suite après la publicité Vincent. Claire est beaucoup plus libérée que moi. Elle est capable de se lâcher face à un autre mec, alors que moi... Quand je l’ai trompée c’était une catastrophe. Claire. J’ai un rapport de mammifère au corps. C’est pour ça que j’ai toujours adoré être enceinte. Je trouve que ça fait du bien, de revenir à un état où tu poses ton cerveau et tu laisses ton corps parler. Je pense que les femmes ont souvent un problème pour passer de la maman à l’amante. C’est compliqué, parfois, de changer de rôle. Vincent me donne cette chance de pouvoir rencontrer d’autres mecs. Mais je ne le ferais pas sans lui. Si un jour j’en ai envie, je lui demanderai et on verra. Vincent. Je pense que, même s’il ne faut pas, je lui dirais Oui...mais par contre tu me racontes absolument tout !’La suite après la publicité Dans la chambre on est hors du monde’ Vincent. Ça se passe uniquement dans la chambre d’hôtel. Un des mecs avait essayé d’embrasser Claire à la sortie du pub, et elle l’avait repoussée, comme si elle ne comprenait pas ce qu’il faisait. Une fois qu’on entre dans la chambre on est un peu hors du monde. On est tous les trois, là haut, et on est un peu hors du monde. Quand on ressort, lui redevient pour nous une connaissance. Vincent. Le déshabillage... Quand on rencontre le mec, on décide d’un signal pour savoir si on est d’accord pour décider si on y va ou pas – par exemple, c’est bon si Claire pose ses boucles d’oreille sur la table. Ensuite, dans la chambre, ça se passe exactement comme si elle était avec un amant d’un soir et que je n’étais pas là tu te déshabilles, il se déshabille et tu ne fais rien d’extraordinaire parce que c’est la première fois. Moi, au début je suis habillé, puisque personne ne s’occupe de moi rires. Mais après forcément tu as envie de te caresser, donc forcément tu te déshabilles. Claire. Pour en parler, j’utilise souvent des termes liés à la gourmandise. Quand j’ai ouvert les photos, sur le site, du dernier mec, j’ai dit Miam miam ’.La suite après la publicité Vincent. Ou Je ne vais en faire qu’une bouchée’. Tu dis ça aussi. Claire. Sur le site échangiste, il y a tout un vocabulaire, qu’on déteste. Par exemple, les libertins s’appellent les coquins’. Je trouve ça complètement con ! Quand ils se retrouvent pour une soirée, ils coquinent’. Non ils baisent, hein ! Ma petite dernière, elle est coquine. Eux, non. Je dis aussi aux mecs On évite le vocabulaire chatte, chienne, cochonne, truie, dinde...’ Tu me traites pas, tu me parles pas mal. Dans ta tête si tu veux, mais autrement, non.” Ce que je préfère, c’est quand je dis à Vincent “ Viens ”, ou que je me lève pour aller le chercher, et que je sais que ça s’est bien passé. Vincent. Moi, c’est quand tu me regardes et que je vois dans tes yeux que c’est bien... Mais même quand tu ne me regardes pas, tu fermes les yeux et je vois à l’expression de ton visage que tu es suite après la publicité silence rêveur Plus crûment, j’aime bien aussi quand tu suces le mec. Il y a un “catalogue” de ce que Claire ne veut absolument pas. Ce sont des règles très claires pas de tapes sur les fesses, pas d’injures, pas de sodomie et pas d’éjac faciale. De toutes façons, Claire est très dominante dans sa façon de faire l’amour. C’est elle qui décide de ce qui se fait. Si elle est dessous, c’est elle qui a décidé d’être dessous. Claire. Les mecs se laissent facilement aller. Ils peuvent te dire oui en chat, mais après, pendant le rapport sexuel c’est différent. Le dernier, j’ai cru un moment qu’il allait me contraindre. Ou l’autre, qui m’a mis une tape sur le cul. Vincent. Tu t’es pas laissée suite après la publicité Claire. Non. Je lui en ai mis une aussi, et on était repartis. Mais quand même. Ces trucs-là, ça me perturbe. Mais je déteste aussi le moment où on s’en va, parce que c’est la fin d’un truc. Tu ne sais pas s’il y aura une deuxième fois, alors que la deuxième fois c’est quand même mieux, tu peux explorer d’autres choses. Mais là, tu claques la porte et c’est fini, il faut redescendre. Vincent. Moi je ne déteste pas forcément c’est le moment où on se retrouve tous les deux et où je récupère Claire pour moi... Par contre, ce que je n’aime pas, c’est lorsque tu rencontres quelqu’un sur le site, tu fais des blagues, ça passe bien – et tu regardes les photos et tu te dis “ ha... merde, c’est con, ça ne va pas le faire ” . C’est dommage, pour le mec, pour nous...La suite après la publicité Claire. Non, c’est sûr, c’est pas cool. pause Je ne peux pas me forcer. Il faut que je sois attirée par le mec, qu’il me plaise, que j’ai envie de l’embrasser. Je ne suis pas une reine de beauté, je ne cherche pas Brad Pitt. Qu’il ait du bide, je m’en fous, mais il faut qu’il y ait un truc. Vincent. On utilise des objets quand on est tous les deux mais pas avec les autres mecs. A la limite, c’est le mec notre objet. rires Claire. On avait dit ça à un d’entre eux sur le chat, qui demandait “Vous cherchez quoi ?” et on avait répondu “Un sex toy vivant !” Et le mec avait répondu “Bon mais ça va s’il a la parole ?” Oui oui c’est bon rires. Claire. Ma zone érogène c’est le clitoris, et puis le point G – mais il n’y a que Vincent qui l’a trouvé, il est l’abri de la concurrence ! Récemment, avec un des mecs, j’ai redécouvert les baisers dans l’oreille, que Vincent ne fait pas. Et les cunnilingus, qu’il ne fait pas non plus. Du coup, je n’ai pas ça à la maison, mais je l’ai à côté ! La suite après la publicité Vincent. C’est pas faute d’avoir essayé mais je ne sais pas le faire bien, alors... Mais quand je touche Claire au creux des hanches, d’une certaine façon c’est une zone érogène pour moi, même si ce n’est pas la mienne. On regrette... une fois, avec un mec très jeune, qui avait 26 ans. On a été trop vite, on lui a parlé très peu. C’est pas vraiment un regret, ça fait partie de l’expérience. Claire. Parfois je me dis que si on en avait parlé plus tôt, qu’on s’y était mis plus tôt... Peut-être si on l’avait fait plus tôt... Vincent. Oui mais bon j’étais pas malheureux non plus. Ça reste que du cul. J’ai toujours pensé qu’on pouvait vivre heureux dans un couple sans le cul. Ce sont des choses détachées, suite après la publicité La famille Vincent. J’ai eu une éducation assez féministe, mais en même temps j’ai été chez les curés jusqu’en terminale. Je ne suis pas du tout croyant, mais ça met quand même une chape de plomb sur ta sexualité. On ne t’apprend pas que le plaisir ou la recherche du plaisir, c’est quelque chose de bien. Mes parents ont divorcé quand j’avais 3 ans. Mon père était homosexuel et il est parti pour un autre mec. A la fin des années 1970, être homosexuel ce n’était pas facile à assumer, alors père en même temps... J’avais de bons rapports avec lui, mais c’était un copain, pas un père. La sexualité de tes parents, c’est toujours quelque chose qui est tu, mais là c’était encore plus le cas avec d’un côté ma mère, qui faisait passer mon frère et moi avant sa vie sentimentale, et de l’autre mon père, qui n’allait pas nous dire à 7 ou 8 ans qu’il vivait avec un homme. Tout ça était vraiment tabou on ne disait pas que c’était mal, mais on n’en parlait pas. Claire. Je pense que ça a poussé Vincent à être moins dans l’action et plus dans le suite après la publicité Vincent. Je sais pas. il hausse les épaules Claire. Moi, je me souviens, quand j’étais jeune ado, mon père avait un copain qui travaillait aux NMPP, les distributeurs de presse. J’avais demandé un magazine genre Podium, mais lui s’était trompé et m’avait ramené un magazine de cul. C’était un truc d’homos, avec plein de photos de mecs à poil et je trouvais ça vachement excitant. J’ai pas vraiment de fantasme, c’est plutôt des scénarios. Et si j’en ai un, c’est d’avoir un harem. “On ne cherche pas le sexe pour le sexe” Claire. On ne cherche pas la performance, le sexe pour le sexe. Pourtant on nous l’a proposé des plans sur le parking de l’hôpital de telle heure à telle heure, ou dans une cabine de routier... Nous ce qu’on aimerait c’est trouver deux ou trois sex friends, qu’on pourrait voir régulièrement. Après, tu les connais mieux et tu peux être plus détendu, ça se passe mieux. Claire. On pourrait avoir un mec par soir si on veut, il y a tellement d’hommes seuls... Mais pour nous, c’est une recherche qui est longue, toujours un peu compliquée. D’ailleurs, j’ai toujours un peu peur avant d’y aller. Tu ne sais pas comment le mec va être, c’est toujours un peu le saut dans l’inconnu. Et je ne sais pas combien de temps on fera ça, mais j’espère que jamais je n’y irai décontractée. Que jamais je ne prendrai l’ suite après la publicité Vincent. Ça ne change pas notre sexualité, mais ça peut changer des détails quand on fait l’amour. Ça peut t’arriver de te mettre dans des positions pour que je te regarde. Claire. Je suis plus en paix avec mon corps, grâce à ça. Je le martyrise moins. Je l’assume plus. Le candaulisme n’a pas changé notre vie sexuelle à tous les deux. On parle plus de notre intimité, de notre ressenti... mais notre vie sexuelle est la même qu’il y a un an. Vincent. Si, maintenant on a plus de lingerie ! “On jouit, au sens large du terme” Au-delà du candaulisme et de la sexualité, c’est notre façon de vivre. On a souvent des copains à la maison, on pense que le plaisir se partage... On a de la chance nos enfants vont bien, on a du boulot tous les deux... de temps en temps le banquier appelle parce qu’on est dans le rouge mais c’est tout, quoi ! On jouit, mais au sens large du suite après la publicité Claire. Après, ça peut être un jeu un peu dangereux. Parfois on se dit ça mais ensuite on en rigole et on se dit “Si on n’a que ça comme problème, c’est pas très grave.” Vincent. C’est quoi le danger ? Qu’elle tombe sur un mec qui la fasse mieux jouir que moi ? Eh bien tant mieux pour elle ! Et s’il le faut, on verra ce mec une fois par mois. Il y a quand même beaucoup d’autre chose dans une vie de couple que le plaisir qu’on prend au lit. D'abord et avant tout, être prudent et vigilant ! On n'a qu'une vie, ce n'est pas la peine de la risquer pour une recherche gratuite de vitesse ou de sensations. Et être attentif à absolument tout ce qui passe et se passe autour de soi, en particulier le profil et l'état de la route, et bien évidemment le trafic. Être prudent, donc, mais surtout pas au point d'avoir peur et de se crisper. Au contraire, il faut être détendu. Pour cela, avoir de bons freins, disques ou patins, envers lesquels on a confiance est primordial. Ensuite, descendre bras fléchis et souples, pour bien jouer un rôle d'amortisseur, et bien sûr mains en bas du guidon. C'est important pour bien rentrer dans le vent mais c'est surtout primordial pour un meilleur contrôle de la machine, en particulier pour éviter que les mains s'envolent du guidon si on passe sur une inégalité du revêtement. C'est du vécu pour ma part, un jour d'inattention, et Valverde lui-même en a fait l'expérience lors de la Vuelta de l'année dernière. Ne pas être en permanence sur les freins. Ça fait chauffer gratuitement les jantes ou les disques, avec un risque de perte totale de puissance de freinage à terme, et pour ceux qui sont à boyaux en freins sur jantes, de faire fondre la colle… Certains recommandent de s'asseoir sur le croissant de la selle pendant les descentes, mais ce n'est pas forcément nécessaire si votre position est déjà reculée. En cas de freinage d'urgence, cela peut être utile pour contrebalancer le risque de ruade. En ligne droite, garder les pédales horizontales en appuyant sur les deux pédales, et lorsqu'on freine, freiner des deux freins, le frein avant fournissant la principale force de freinage et le frein arrière en appoint. Freiner avant les virages et pas pendant, sauf urgence absolue et dans ce cas uniquement avec le frein avant si freinage à l'arrière dans ces conditions, dérapage quasi assuré. Dans les virages, relever la pédale du côté intérieur, appuyer sur la pédale côté extérieur. Et, à nouveau prudence… Modifié mardi à 0815 par Franck PASTOR

je suis bien d accord avec la grosse