la couleur de la victoire film

Mercredi27 juillet sort un film historique. "La couleur de la victoire" est un hommage à Jesse Owens, sprinter noir vainqueur en 1936 à Berlin, sous les yeux d'Hitler. LaCouleur de la victoire. De Stephen Hopkins. Avec Stephan James, Jason Sudeikis, Eli Goree. Durée : 118 min. Sortie le 27 juillet 2016. Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare Audébut du mois d’août, juste avant les jeux Olympiques au Brésil est sorti un film : La couleur de la victoire.Ce film retrace une partie de la vie de l’athlète noir américain Jesse Owens qui remportera 3 médailles d’or individuelle sur 100 et 200 mètres, au saut en longueur et une médaille d’or sur le relais 4x100, aux jeux Olympiques de Berlin en 1936. LaCouleur de la victoire (Race) est un film franco-germano-canadien réalisé par Stephen Hopkins, sorti en 2016. Il revient sur le parcours de l’athlète Afro-Américain Jesse Owens qui à lui seul, a contrarié les discours raciaux d’Adolf Hitler et empêché la glorification du Troisième Reich lors des Jeux Olympiques de 1936 à Berlin. Unmonde en noir et blanc. 27 juillet 2016 : Race (titre français : La couleur de la victoire) est un film germano-canadien réalisé par un Australien né en Jamaïque, Stephen Hopkins. Il raconte les exploits de Jesse Owens, l'athlète afro-américain qui a bouleversé les Jeux Olympiques de Berlin en 1936, il y a tout juste 80 ans. nonton film tomb raider 2018 sub indo. Avec Stephan James, Jason Sudeikis, Eli Goree, Shanice Banton, Carice Van Houten, Jeremy Irons, William Hurt, David Kross, Amanda Crew, Shamier Anderson, Glynn Turman... Bien trop académique et brouillon pour être à la hauteur de la légende Jesse Owens est l’homme le plus rapide des États-Unis et rêve logiquement de remporter une médaille d’or aux Jeux Olympiques. Sa détermination l’emmènera alors jusqu’à Berlin et à braver le régime nazi… Il est toujours difficile de s’attaquer à une légende, même pour un réalisateur ayant bourlingué depuis longtemps dans l’univers du cinéma "Predator 2", "Suspicion" et de la télévision "24 heures chrono". Mieux, Stephen Hopkins s’était déjà adonné à l’exercice éminemment complexe du biopic avec le très réussi "Moi, Peter Sellers". Pourtant, "La Couleur de la victoire" ne parviendra jamais à avoir la même saveur et la même précision scénaristique que son précédent exploit. Le film s’intéresse à Jesse Owens, quadruple champion olympique en 1936 et symbole de la résistance face à l’idéologie nazie. L’Histoire est connue de tous. Hitler organise ses Jeux, dans la seule optique de révéler au monde l’ultra-puissance et la domination athlétique de la race » aryenne sur les autres. Sauf qu’un jeune homme de couleur noir va perturber ses plans, en remportant quatre épreuves au nez et à la moustache de l’escadron allemand. Ce parcours hors du commun mérite tous les honneurs, et ce n’est malheureusement pas ce vulgaire objet ultra-formaté qui lui rendra le plus bel hommage. Car en multipliant les points de vue, le film se perd dès les premières minutes, ayant ainsi bien du mal à terminer la course sans fauter irrémédiablement. En cherchant à s’intéresser autant au parcours sportif qu’aux enjeux moraux et politiques ayant entouré la compétition les États-Unis devaient-ils boycotter ou non cette édition tristement célèbre ?, le réalisateur enterre son film dans une zone de transition où aucune des thématiques n’est véritablement traitée. La caractérisation de Joseph Goebbels frôle alors le ridicule lorsque que celle de la réalisatrice Leni Riefenstahl, personnage essentiel de la propagande nazie, se retrouve grandement édulcorée. Et ne parlons même pas des tergiversions des élites américaines quant à la position à adopter, tant celles-ci sont retranscrites par une caricature grotesque. Ce qui devient le plus surprenant, c’est qu’avec tous ses défauts, le métrage réussisse à éviter la sortie de piste. Ceci repose avant tout sur une mise en scène, certes emphatique, mais efficace zéro prise de risque, et sur des comédiens particulièrement étincelants. Si le jeune Stephan James fait démonstration d’une partition intéressante et s’affirme dans un nouveau rôle fort il avait notamment prêté son corps au militant pour les droits civiques John Lewis dans "Selma", on retiendra surtout la performance de Jason Sudeikis. Plutôt habitué aux comédies, le fraîchement quadragénaire excelle en coach borderline, obsédé par la victoire de son poulain afin de combler ses propres échecs, volant même la vedette au héros de ce drame hagiographique. À l’image d’une course d’un éternel second, "La Couleur de la victoire" a une technique parfaite, tout est précis, et pourtant il manque ce brin de génie et de folie qui fait l’étoffe des champions. Celui-là même qu’avait Jesse Owens. Envoyer un message au rédacteur À LIRE ÉGALEMENT Aperçu des critiques de la presse Internet sortie vod, dvd et blu-ray La Couleur de la victoire"Le récit est maîtrisé et le savoir-faire du réalisateur évident, ce qui a permis au film d'éviter un scandale lors de sa sortie aux États-Unis début 2016. Car si le long-métrage s'était révélé maladroit et avait souffert d'un scénario bancal, beaucoup en aurait profité pour hurler à l'offense, outrés qu'un artiste ose comparer la Ségrégation au nazisme. Ici, il s'agit plutôt d'une réflexion intelligente sur le racisme presqu'ordinaire et sur la manière dont la notion de race a encore une quelconque importance." Avoir Alire "La Couleur de la Victoire parle de la haine en Europe et aux Etats-Unis. D'un côté, celle instaurée par le régime nazi en Allemagne, mais aussi celle qui règne plus insidieusement aux Etats-Unis, où la ségrégation est encore bien présente. Le réalisateur n'oublie pas l'hypocrisie avec laquelle le gouvernement américain a appréhendé les de Berlin. ... Bref, un biopic intelligent sur un des plus grands athlètes de tous les temps." Elle "La Couleur de la Victoire ... ravive sous une forme romanesque une des olympiades les plus fameuses de l'histoire." Culture Box "En deux heures qui passent comme un claquement de doigts, ce biopic retrace les exploits du quadruple médaillé olympique Jesse Owens aux de Berlin de 1936. En se concentrant sur les deux années de sa vie au cours desquelles il bâti sa légende entre 19 et 21 ans, 1934-1936, Stephen Hopkins nous propulse de façon captivante dans l'atmosphère électrique de cette époque qui rend cette victoire si exceptionnelle, sur le plan sportif et politico-social. Au delà du fait de rendre enfin hommage à cet athlète incroyable, cet opus est donc particulièrement passionnant car il aborde les événements et leur impact sur plusieurs plans, tant au niveau humain qu'historique." Le Blog du Cinéma "La Couleur de la Victoire est la démonstration qu'un réalisateur peu réputé pour ses élans artistiques peut s'effacer derrière son sujet, du moment qu'il est porteur. Ce film est également la démonstration que le sport est un thème ô combien cinégénique, tant il est était ? riche de valeurs universelles, de lien étroits avec l'Histoire ici bien manipulée, on y reviendra et de tout ce qui fait un film prenant suspense, rebondissements, émotions et panache." Ciné Séries Mag "Scolaire dans sa forme, cette oeuvre soigne toutefois le fond et fait considérablement vibrer les coeurs." Lci "Le réalisateur, bon faiseur pro, se tire à peu près de la mièvrerie qu'imposent les scènes sentimentales Jesse et sa femme. Et il réussit parfaitement, en revanche, les moments spectaculaires l'arrivée du champion noir dans un stade hostile donne vraiment le frisson..." Telerama - Pierre Murat "En multipliant les points de vue, le film se perd dès les premières minutes .... En cherchant à s'intéresser autant au parcours sportif qu'aux enjeux moraux et politiques ayant entouré la compétition les États-Unis devaient-ils boycotter ou non cette édition tristement célèbre ? , le réalisateur enterre son film dans une zone de transition où aucune des thématiques n'est véritablement traitée." Abus de Ciné "Le portrait de Jesse Owens reste bien superficiel et ce récit politique bien simpliste." La Croix Synopsis usuel Dans les années 30, Jesse Owens, jeune afro-américain issu du milieu populaire, se prépare à concourir aux Jeux d’été de 1936 à Berlin. Cependant, alors qu’Owens lutte dans sa vie personnelle contre le racisme ambiant, les Etats-Unis ne sont pas encore certains de participer à ces Jeux, organisés en Allemagne nazie. Le débat est vif entre le président du Comité Olympique Jeremiah Mahoney et le grand industriel Avery Brundage. Pourtant, la détermination de Jesse à se lancer dans la compétition est intacte… Titre original Race Rating Origine Canada/Allemagne Réalisateur Stephen Hopkins Distribution Stephan James, Jason Sudeikis, Eli Goree, Jeremy Irons, Shanice Banton, Carice Van Houten, William Hurt, David Kross… Genre Drame Date de sortie 27 juillet 2016 Le Pitch Dans les années 30 aux États-Unis, Jesse Owens, un jeune étudiant, se distingue par ses capacités uniques à la course et au saut en longueur. Il se rapproche alors d’un entraîneur qui lui offre la possibilité de concourir aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936. Mais la montée en puissance du régime d’Hitler fait douter le comité olympique quant à la participation des États-Unis, ne voulant pas cautionner l’idéologie nazi, qui va notamment totalement à l’encontre des valeurs de la compétition. Jesse Owens est alors confronté à une décision cruciale, lui qui est déjà opprimé dans son propre pays où le racisme est encore virulent. Envers et contre tous, il va pourtant se lancer et entrer dans l’Histoire… La Critique La vie de Jesse Owens méritait largement de se retrouver portée à l’écran. Son histoire est l’une des plus puissantes de notre époque. L’une des plus galvanisantes aussi, grâce aux valeurs qu’elle a su véhiculer, dans un contexte douloureux. À la barbe et au nez d’Hitler, alors en pleine ascension, prêt à lâcher son armée sur le monde, l’athlète a défié la grandeur nazi armé de son seul courage et de ses compétences. Comment une trajectoire pareille pouvait donner un mauvais film ? Impossible. Il aurait fallu un incompétent notoire à la barre et des acteurs à la ramasse pour qu’un tel long-métrage ne parvienne pas à faire vibrer le public. Et en effet, à l’arrivée, La Couleur de la Victoire est un bon film. De ceux qui donnent envie de se lever de son fauteuil alors que vient le dénouement, lors du puissant climax, quand bien même nous connaissons déjà la conclusion. Au cinéma, le sport à ce pouvoir. De dépasser le cadre de la simple performance pour raconter autre chose. Pour prendre une ampleur inédite et toucher jusqu’à ceux qui ne s’intéressent pas à la discipline abordée, comme ici l’athlétisme. C’était déjà le cas d’Invictus, qui parlait plus de l’abolition de l’Apartheid en Afrique du Sud que de rugby, et c’est aujourd’hui le cas du dernier film de Stephen Hopkins. Et tant pis si La Couleur de la Victoire se repose justement un peu trop sur son histoire et se contente » de la raconter sans faire preuve d’une quelconque audace… Stephen Hopkins revient de loin. Formé à Elm Street avec Freddy Krueger on lui doit le cinquième volet de la saga initiée par Wes Craven, réalisateur du solide Predator 2, du survival urbain La Nuit du Jugement, de l’explosif Blown Away ou encore du gentil nanar Perdus dans l’espace, Hopkins avait un peu disparu des écrans radars après la sortie en 2007 de son trip fantastique bancal avec Hilary Swank, Les Châtiments. Et le voici qui revient par la grande porte avec un biopic bénéficiant d’une sortie en salle. Un film fastueux articulé autour de l’une des plus extraordinaires histoires du XXème siècle qui aujourd’hui, résonne avec d’autant plus de force. Artisan honnête et sincère, Hopkins a saisi la balle au bond pour montrer à son public qu’il savait encore faire du cinéma. Pour ce faire, il a choisi la carte du classicisme à l’américaine en appliquant à la lettre les codes du biopic. C’est d’ailleurs principalement pour cette raison que son long-métrage peut apparaître un peu trop fade. Au fond, si on oublie le sujet principal, la photographie, aussi belle soit-elle, la reconstitution et la progression du récit sont les mêmes qu’un grand nombre d’œuvres similaires. Les mécanismes du biopic sont connus et tant pis si ils rebutent certains spectateurs car dans le cas présent, une question mérite d’être posée et si les exploits de Jesse Owens appelaient justement ce genre de classicisme ? Et si le choix était délibéré afin de rendre justice au personnage ? La Couleur de la Victoire a choisi d’opter pour une certaine linéarité assortie d’un simplicité flagrante. Pas d’effets de style ni d’habillages trop voyants si ce n’est les quelques images de synthèses peut-être un peu trop artificielles. Du côté du scénario, rien ne vient encombrer la progression. Même la traditionnelle love story ne déborde pas sur le thème central. Au contraire même, tant elle permet de comprendre Jesse Owens. De voir l’homme qu’il était en dehors des pistes. De saisir ses aspirations. On peut en cela souligner l’introduction, d’une sobriété exemplaire, quand Jesse Owens quitte le foyer familial. Même le racisme prégnant qui infeste à cette époque encore les États-Unis, est traité avec une certaine subtilité. Le film évite le pathos, même si il n’évite pas les clichés. Paradoxal ? Pas tant que ça non. Tout est une affaire de mesure et celle dont fait preuve Stephen Hopkins est notable. Sa réalisation et le scénario manquent peut-être de souffle quand on suit Owens en dehors du stade, ou quand ils tentent de donner de l’ampleur au discours politique dispensé en filigrane, en faisant des allers-retours entre les coulisses des jeux, en Allemagne et le bureau du Comité Olympique à New York, mais jamais quand il entre dans le vif du sujet, dans son dernier tiers. Quand Owens humilie Hitler quatre fois d’affilée en faisant mordre la poussière aux athlète aryens. Là, le message passe. L’émotion aussi, de plus parfaitement relayée par l’excellent Stephan James, la révélation du film, parfait en Jesse Owens, et par un Jason Sudeikis en dehors de sa zone de confort, très émouvant lui aussi. La Couleur de la Victoire convainc grâce à son honnêteté, qui lui permit d’aborder sa formidable histoire à hauteur d’homme. Tant pis si il échoue tout est relatif à décrire avec la force nécessaire le contexte. Le film se concentre sur Owens en présumant peut-être que nous, les spectateurs, connaissions déjà nos cours d’Histoire pour savoir tout ce qu’il fallait savoir sur le IIIème Reich. La démarche est louable. Les lieux communs, les bons sentiments, comme ceux de cette réalisatrice pugnace et rebelle incarnée par Carice Van Houten, et toutes les ficelles un peu voyantes n’entravent pas la bonne marche du récit. Ils n’empêchent pas le film d’être passionnant et rendent justice à Jesse Owens. C’est le principal. Gilles Rolland Crédits photos La Belle Company Déposer un commentaire Casting Date de sortie 27/07/2016 Au cinéma 01h58 Titre original Race Réalisé par Stephen Hopkins Avec Stephan James , Jason Sudeikis , Carice van Houten , Jeremy Irons , Amanda Crew , William Hurt , David Kross , Eli Goree , Giacomo Gianniotti , Jon McLaren , Moe Jeudy-Lamour , Shamier Anderson , Shanice Banton , Tim McInnerny , Nina Lauren , Jesse Bostick , Tim Post , Barnaby Metschurat , Larry Day , Arthur Holden , Karl Graboshas , Jeff Burrell , Anthony Sherwood , Alexander Yassin , Jonathan Higgins , Jaa Smith-Johnson , Jeremy Ferdman , Bruno Bruni Jr. , Steffen Mennekes , Manuel Sinor , Chantel Riley , Daniel Harroch , Marc Primeau , Dondre Octave , Ricky Watson , Milo Larratt , Gaetan Normandin , Julien Boissaud , Andrea Carter , Nikoma T. Beermann , Francois Hugo Turgeon , Karen Belfo , Chris Theisinger , Jonathan Aris Genre Drame, Action Nationalité - Drame Action Synopsis La Couleur de la victoire Le 5 août 1936, Jesse Owens, un jeune athlète noir, était sacré champion olympique du 200m à Berlin devant un parterre de nazis et leur chef suprême, Adolf Hitler. Lors de ces Jeux, il obtint 4 médailles d’or 100m, longueur, 200m, 4x100m, devenant un mythe et un exemple pour le monde entier. La Couleur de la victoire La Couleur de la victoire ou 10 Secondes de liberté au Québec Race est un film franco-germano-canadien réalisé par Stephen Hopkins et sorti en 2016. Il revient sur le parcours de l'athlète Afro-Américain Jesse Owens qui, à lui seul, a contrarié les discours raciaux d'Adolf Hitler et empêché la glorification du Troisième Reich lors des Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin. Le film a reçu le soutien de la famille Owens, de la Fondation Jesse Owens et du Luminary Group[1]. Synopsis En 1934, en pleine période de ségrégation raciale, Jesse Owens arrive à l'université d'État de l'Ohio pour travailler avec les meilleurs entraîneurs de l'époque. Ce petit‐fils d’esclave va y développer une relation étonnante avec un entraîneur blanc, Larry Snyder. Devenu entraîneur d’avant‐garde, obsédé par la réussite, il ne fait aucune distinction de couleur entre ses protégés, contrairement à ses collègues. Les deux athlètes n'ont qu'un objectif les Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin. Devant le racisme dans son propre pays ainsi qu'au cœur de l’Allemagne du Troisième Reich, Jesse Owens va finalement battre tous les records de médailles 4 médailles d’or 100 m, longueur, 200 m, 4x100 m et prouver qu’un homme seul peut être le grain de sable qui fait déraper une machinerie de propagande monstrueuse que ce soit en Allemagne ou aux États-Unis. Franklin D. Roosevelt ne félicitera jamais officiellement Jesse Owens et ne reconnait pas ses victoires aux jeux. Fiche technique Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données IMDb. Titre original Race Titre français La Couleur de la victoire Titre québécois 10 Secondes de liberté Réalisation Stephen Hopkins Scénario Joe Shrapnel et Anna Waterhouse Musique Rachel Portman Direction artistique David Brisbin Costumes Mario Davignon Montage John Smith Photographie Peter Levy Production Jean-Charles Levy, Luc Dayan, Nicolas Manuel, Karsten Brünig, Kate Garwood, Stephen Hopkins, Thierry Potok, Louis-Philippe Rochon et Dominique Séguin[2] Sociétés de production Forecast Pictures, JoBro Productions & Film Finance, Solofilms et Trinity Race Sociétés de distribution La Belle Company France, SquareOne Entertainment Allemagne Pays d’origine France, Allemagne et Canada Langues originales anglais et allemand Genre biographie, drame, sport Dates de sortie États-Unis 19 février 2016 France 27 juillet 2016 Distribution Stephan James VF Namakan Koné ; VQ Gabriel Lessard Jesse Owens Jason Sudeikis VF Thierry Kazazian ; VQ Tristan Harvey Larry Snyder Jeremy Irons VF Féodor Atkine ; VQ Jean-Luc Montminy Avery Brundage Carice van Houten VF Katja Krüger ; VQ Mélanie Laberge Leni Riefenstahl William Hurt VF Gabriel Le Doze ; VQ Jean-Marie Moncelet Jeremiah T. Mahoney Shanice Banton VF Célia Asencio ; VQ Annie Girard Ruth Solomon-Owens Amanda Crew VQ Kim Jalabert Peggy Jeremy Ferdman VF Fabrice Trojani Marty Glickman Barnaby Metschurat Joseph Goebbels Moe Jeudy-Lamour VF Diouc Koma Mel Walker David Kross VF Boris Sirdey ; VQ Xavier Dolan Luz Long Marcus Bluhm VF Pierre-François Pistorio Wolfgang Fürstner Glynn Turman VF Med Hondo Harry E. Davis Jonathan Higgins VF Nicolas Marié ; VQ François Trudel Dean Cromwell Giacomo Gianniotti Sam Stoller Dondre Octave Ralph Metcalfe Jacob Andrew Kerr Foy Draper Gaetan Normandin Frank Wykoff Tony Curran VQ Louis-Philippe Dandenault Lawson Robertson Shamier Anderson Eulace Peacock Jonathan Aris Arthur Lill Tim McInnerny général Charles Nicholas Woodeson Fred Rubien Eli Goree VF Eilias Changuel ; VQ Fayolle Jean Jr. David Albritton Adrian Zwicker Adolf Hitler Chantel Riley Quincella Jon McLaren Trent Anthony Sherwood le révérend Ernest Hall Bruno Bruni junior Hans Ertl Source et légende version française VF sur RS Doublage ; version québécoise VQ sur Production Genèse et développement Le film se base sur la légende racontant qu'Hitler, furieux de voir un Noir triompher, aurait refusé de serrer la main à Jesse Owens. Cette histoire est fausse puisqu'Owens affirma dans ses mémoires qu'Hitler ne l'avait pas snobé et lui avait fait un signe de la main lorsqu'il était passé devant sa loge[5]. Distribution des rôles John Boyega a été pressenti pour tenir le rôle principal, mais il a préféré s'engager sur Star Wars, épisode VII Le Réveil de la Force 2015[6]. Il a été remplacé par le Canadien Stephan James. Tournage Le tournage a eu lieu dans deux pays Canada Montréal pour les scènes se passant aux États‐Unis, et Berlin notamment le stade olympique de Berlin pour les scènes en Allemagne. Le tournage a débuté le 24 juillet 2014 au Canada[6],. Accueil Notes et références ↑ ↑ en Jesse Owens Biopic Finds Its Leading Man », sur Variety, 24 janvier 2014 consulté le 23 octobre 2014 ↑ Fiche du doublage québécois du film », sur consulté le 3 février 2017 ↑ en Jeremy Schaap, Triumph The Untold Story of Jesse Owens and Hitler's Olympics, Houghton Mifflin Harcourt, 1er janvier 2007, 272 p. ISBN 978-0-618-68822-7 et 0-618-68822-6, lire en ligne Annexes Articles connexes Jeux olympiques d'été de 1936 Liens externes en Site officiel Ressources relatives à l'audiovisuel Centre national du cinéma et de l'image animée Ciné-Ressources Cinémathèque québécoise Office national du film du Canada en AllMovie en BFI National Archive de + en Filmportal en Metacritic de OFDb en Rotten Tomatoes mul The Movie Database Stephen Hopkins Réalisateur Dangerous Game 1987 Freddy 5 L'Enfant du cauchemar 1989 Predator 2 1990 La Nuit du jugement 1993 Blown Away 1994 L'Ombre et la Proie 1996 Perdus dans l'espace 1998 Suspicion 2000 Moi, Peter Sellers 2004 Les Châtiments 2007 La Couleur de la victoire 2016 Catégories Film français sorti en 2016Film canadien sorti en 2016Film allemand sorti en 2016Film biographique allemandFilm biographique françaisFilm biographique canadienFilm sur l'athlétismeFilm biographique sur une personnalité du sportFilm réalisé par Stephen HopkinsFilm se déroulant dans les années 1930Film se déroulant dans les années 1940Film se déroulant à BerlinFilm se déroulant à ClevelandJeux olympiques au cinémaJeux olympiques d'été de 1936Film tourné à BerlinFilm tourné à MontréalDernière mise à jour du contenu le 21/06/2022.

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